Constat d'échec!
(…) tout mon temps pour la chanson (la chanson) et cætera (…) dans le mutisme sans plus être muselé (…) septembre 2021 sonna un glas (…)et complément de mise à jour.
(…) tout mon temps pour la chanson (la chanson) et cætera (…) dans le mutisme sans plus être muselé (…) septembre 2021 sonna un glas (…)et complément de mise à jour.
Certaines vraies vérités devenant en suite non-vraies, il faut les corriger pour rétablir la vérité vraie sur ce qui était une vérité vraie au départ, mais vraiment!
Avec dessus et sans dessous.
Veux-je dire que, sous la jupe, …? Sans mettre le doigt dessus (😜 …heu la langue non plus 😳, 😉), en-fin (euh, non, cela ne fait que commencer) bref, voyez ce qu'il en est…
J'attends la réception de nouvelles cordes (d'amarrage? 😜) pour commencer un enregistrement (en vue d'embarquer? 😜)… Par contre, je ne devrais que peu enregistrer…
Et, il y a un peu plus d'une heure, m'est venu l'idée d'un nouveau nom pour mon “studio” d'enregistrement…
si je n'annonce rien à ce sujet sur le présent site d'ici le mois de décembre 2020, c'est soit que j'ai failli (à faire ce que j'ai fait avec le mini-album conceptuel en question), soit que j'ai reporté la chose, soit que je ne suis plus vivant.
Le glaive du temps sonne le glas (…— m' —enfin, je suis toujours vivant)! Au départ, j'ai oublié, mais de toute façon, quand bien même, je pense que j'aurais reporté.
C'est donc fin octobre (ou début novembre) 2021 que j'ai finalement fait une grosse erreur en achetant un produit venant du pays de l'affreux 孫子 (mais sans en avoir vraiment conscience lors de la commande).
Meine erſte deutſchſprachige Webſite iſt fertig und hat ihre Domäne in .jetzt! Obwohl ich die erſte Kompoſition aufgegeben habe, fehlt nur noch die Muſik (und ich zögere den einzigen Liedtext zu bewahren, den ich biſher behalten habe).
Je vous jure que “ein (…) Flucht bis jetzt.” a été écrit avant même que je sache qu'il existe des noms de domaine en .jetzt.
Il y eut une offre promotionnelle (sur un récent ré‑assemblage totalement inutile et maintenant hors-ligne d'un passé renié mais moins qu'un autre conceptuellement tout proche de celui-ci) dont le but était de masquer (tout en l'avouant) la présente misère due à cette mascarade de pandémie mondiale déprimante.
Cette promotion passée, ne reste plus que la misère en question!
“Nous sommes en guerre” à dit un présidant (sic) voisin, cette photographie exclusive du haut du front (passé à la tondeuse) comblera les esthètes…
Pourquoi une tel esthétique, peut-être parce que je suis en train de composer de la “musique du tronc électronique”…
Ces derniers jours, depuis mon précédant article (dont j'ai reporté la correction de ce fait), j'ai composé la musique d'un projet “assez noir” et je viens de faire une ébauche de logotype pour ce nouveau projet. Ah, vous avez du mal à lire, oh, le “o” est pourtant presque identique à celui en alphabet latin puisque c'est basé sur un peu le même principe (sans passer par le grec et avec une certaine nuance). Ah, mais il n'y a aucun “o” dans ce nom (que je doute que vous arriviez à lire avant la publication de son alphabet, qui sera sur le site de ce projet qui sera lui-même créé quand celui-ci aura quelque chose de concret à proposer). Et maintenant, je m'attèle aux paroles de ce premier morceau composé (en général, je préfère écrire les paroles d'abord, mais pour ce projet, c'est différent)…
Depuis avant-hier, je n'ai plus aucun réseau social (sauf oubli, mais j'en doute). Et alors? Dans un article daté qui aborde une nouvelle, j'y explique que, par erreur, j'ai d'abord publié celle-ci sur des réseaux sociaux, ces deux réseaux-là ont été, un moment donné, supprimé, il est donc important de rectifier ce qu'il en est (et puis, je suis très heureux de ne plus avoir du tout de réseau social, pour une fois que je suis heureux…), j'ai aussi voulu publier cette nouvelle vendredi, puis j'ai oublié pour ne m'en rappeler que maintenant en corrigeant l'article sus-lié (travaillant depuis hier sur ce site-ci).
À l'heure où les titres sont toujours plus mensongers car privilégiant l'apparat d'être accrocheur, ne serait-il bon de se défaire de cette habitude de titrage? Et, plus généralement, l'artifice est-il petit-fils de l'art?
Faire une citation est une forme de psittacisme.
Hier, Sankt-Vith s'est invité (par contre jeu de mot) à la fête de l'ἔρως, comme j'aime commencer des nouvelles traditions (à l'image des journées mondiales toujours plus absurdes qu'on nous invente), disons qu'aujourd'hui, le 15 février est la “contre-”fête de la στοργή et donc, j'en profite pour dire: “Yo, ça va?” à mes “¼ de sœurs” Anneke, Tabea et Jana, ainsi qu'à leur père Ralph (au fait, saviez-vous qu'à Sankt-Vith, on parle le luxembourgeois?).
Est-ce parce que: “οὕτως ἔσονται οἱ ἔσχατοι πρῶτοι καὶ οἱ πρῶτοι ἔσχατοι” que le “saint va à Lantin”? Pour les francophones n'ayant rien compris, il faut être belge, voire wallon, voire peut-être même liégeois pour comprendre (et aussi faire en sorte de comprendre un minimum le grec ancien). Addendum pour les hennuyers et les germanophones: “si Saint-Vaast, lent, tint, Saint-Vith tint”.
J'ai décidé d'avoir une section de brèves pour ce site, ce qui me permettra théoriquement de vous divertir de la réalité plus régulièrement (décidément, j'ai raté ma vocation, j'aurais dû être alcoolique, heu, non, journaliste, mais cela revient au même: c'est aussi ulcérant).