Ce site est (devenu) une sorte de pastiche de site d'information (empli et rempli de jeux de mots) qui me permet de m'exprimer artistiquement.
Si cette expression est principalement portée sur mes créations artistiques, j'en profite pour exprimer aussi mon ressenti au sujet de notre monde et donc, entre autres, pour réagir parfois à certaines actualités (même passées et, qui sais, peut-être même futures, non, je rigole, les crêtois (sic) avaient hélas raison sur ce point avec leur slogan maintenant d'une actualité criante), mais aussi pour exprimer certaines réflexions (plus générales) de manière plus artistique que ce que je le ferais dans un autre cadre et cætera.
Bref, j'aime à m'égarer dans mes pensées, et d'ailleurs revenons sur:
- mes jeux de mots, j'aimerais qu'il y en ait plus, que c'en soit plein à ras bord, même si, actuellement, cela nuit déjà (un peu) à la compréhension, ceci étant, je fais en fonction de l'écoulement (par trop irrégulier) de mon inspiration du moment (quoi qu'il m'arrive de m'aider de dictionnaires, parfois simplement pour retrouver un mot et finissant par en ajouter d'autres piochés au cours cette lecture) et, donc, c'est déjà très bien ainsi (quoi que certainement trop irrégulier);
- notre monde pour ajouter qu'il est, à mes yeux toujours plus horrible (et pourtant, dans lequel j'espère vivre le plus longtemps possible, même si je crois à un après cette vie de type pour le moins âimé (sic) d'un certain souffle …de “vie”?);
- mes réflexions générales qui n'iront tout de même jusqu'à parler de sophie (sic), la pauvre, je la laisse tranquille, de toute façon, peut-on encore parler d'aimer la sophie (sic)?;
- ce qui nuit (aussi) à la compréhension, soit ma façon très personnalisée de m'exprimer qui tiens particulièrement à trois autres choses:
- mon (insuffisant) amour de l'étymologie, en effet, si je m'attarde très souvent sur l'étymologie de mots sur lesquels je me pose des questions, j'aimerais vérifier chaque mots que j'écris, mais cela prendrait vraiment beaucoup trop de temps,
- ma haines des anglicismes que j'évite comme la peste (concise et donc promptement succinctes description sommaire réduite à sa plus simple expression qui passe de façon passagère, voire transitoire, presque pressée par le temps, pour s'échapper fugacement, et qui donc restera lacunaire, bien que résumant parfaitement ce qu'il en est), enfin bref…, et
- ma haine des abréviations de toutes sortes (idem);
- la peste: le virus à couronne rôde! et donc l'ultime danger pour l'humanité (tel qu'elle nous à vu naitre): l'acceptation majoritaire de ce qui a été sensé annihiler (sans réel efficacité) le dit virus, donc le pire irrespect (tant que maintenant) de la divine création, soit le transhumanisme par manipulations génétiques (nul complot dans mes propos, à mes yeux, il n'y a que des idéologues et, surtout, des opportunistes, ce qui, d'ailleurs, inclut bien des complotistes)! et
- l'humanité tel qu'elle nous à vu naitre, du moins, je l'espère, en effet, les premières expérimentations génétiques ont eu lieux en 1972 sur des bactéries (que l'on trouve dans le tube digestif humain…), suivie d'un moratoire jusqu'à 1978, donc, le risque pour cette humanité (qui m'est cher) est grandissant depuis 1972, mais surtout 1978 et son actuel sommet (qui reste d'actualité) est l'acceptation généralisée des prétendus vaccins sus-évoqués qui rend (virtuellement) la dite humanité caduque.
Présentation de l'artiste que je suis

Je suis un auteur (chansons, poèmes, romans, pensées, création de langues, …), un compositeur, un interprète (chant, guitare, guitare basse, clavier, flute, …), … assez singulier.

Je considère avoir deux périodes dans ma vie. Ce qui distingue particulièrement la deuxième de la première période est mon rejet des idéologies.
Bien que je sois passé de l'une à l'autre sur un temps très long, je distingue, par ce seul critères, deux périodes dans ma vie artistique.
J'ai, du moins au point de vue des créations disponibles ou qui le seront, une sorte de passage vide qui s'étend de 2010 à 2019 — si l'on excepte un groupe dont j'ai fait partie de 2007 à 2015, activité qui n'a pratiquement porté aucun fruit.
Cela m'arrange bien puisque je suis passé entre ces deux périodes de ma vie de 2006 à 2021 et que ce qui m'a vraiment changé s'est particulièrement produit entre 2011 et 2019 (et, sur un autre sujet, début 2021, comme précédemment évoqué).
Le site A Gloom Way… à pour but de rassembler tout ce que je rejette actuellement dans ma vie artistique passée et le présent site à pour but de rassembler tout ce qui concerne mes activités artistiques en accord avec la personne que je suis devenue.

Entre les deux sites, il y a notablement une différence de nom de scène. L'actuel est une (certainement des) manière(s) de dire en wallon la façon dont je me nomme. Pourquoi? Parce que je suis wallon, que j'ai connu dans mon enfance des wallophones (de ma famille, dont une arrière-grand-mère qui n'a jamais parlé français) et qu'en plus, mon nom est d'origine russe, contrairement à mon (et même mes) prénom(s).
Pour tout vous dire sur mes origines, de ce que je sais, je suis austro-tchéco-russo-franco-belge.
Lorsqu'on s'intéresse à sa généalogie, on sait remonter plus ou moins loin dans chaque branches de sa famille. Personnellement, je ne sais remonter que maximum sept générations en arrière et à partir de la quatrième, il y a déjà une petite incertitudes (et les incertitudes augmentent particulièrement à partir de la sixième génération).
Il y a plusieurs manières de gérer les incertitudes pour tirer des conclusions statistiques sur ses origines. J'ai choisi une méthode ayant pour résultat (en arrondissant à l'unité): 4 % d'Autrichien, autant de Tchèque, 14 % de russe, autant de français et 64 % de belges dont 39 % de wallon et 25 % de …wallon dont le nom de famille évoque une origine flamande ou, peut-être, néerlandaise, voire germanophone.
Pour information, j'ai choisi selon deux conceptions différentes de mettre d'abord “russo-” avant “franco-” et “austro-” avant “tchéco-”, pour le premier, je me suis basé sur une méthode de calcul qui donne des résultats qui s'avèrent aberrants et dans le second cas sur une conception culturelle et donc quasi-arbitraire.
J'ajoute que l'actualité fait qu'on pourrait croire que j'ai une intention particulière derrière ces précisions, il n'en est rien, si c'était le cas, je vous dirais avec bien plus de précisions que, par alliances (et cætera), j'ai des liens avec des familles de pays considérés chacun comme “gentils” d'un point de vue “atlantiste” depuis certains temps.
Dans un certain cas, ce serait même peut-être manipulatoire, ce à quoi j'oppose à cette conception qui, de fait, est très théorique, qu'il est impossible de déduire le “camp” de plusieurs descendants en fonction de leur origine connue. Mais je l'oppose par soucis de la véracité et du détail et non pour quelque dédouanement que ce soit (auquel cas, il me semble que j'aurais probablement été concomitamment gêné de parlé de ce potentiel manipulatoire).
Quoi qu'il en soi, tout cela est un ensemble de purs hasards et cela ne m'influence en rien dans mon avis sur la (non-)dite actualité. D'ailleurs, cette avis est en fait intemporel: la guerre, dans tout les cas, c'est dommage et faire une dichotomie morale entre les camps qui se combattent est dommageable.
Après tout ces égarements, revenons à mes projets musicaux pour préciser que je préfère les rendre public au moment opportun pour chacun de ceux-ci, en effet, actuellement, rien n'est près pour en parler publiquement.
En fin, je termine de m'égarer en disant que, aimant titiller les normopathes, je regrette de n'avoir su placer autrement le mot: “reptilien”, ce d'autant plus que j'ai eu une affection enfantine pour les reptiles d'aucun poil.